Ghali les a accusés de priver d’emplois temporaires les étudiants et les chômeurs. Il soutient que les enseignants devraient rester dans leurs classes à l’approche de la rentrée scolaire, en septembre, pour maintenir l’intégrité de l’école publique et servir au mieux les élèves, rappelant les inégalités dans le système éducatif.
Ses commentaires ont suscité des réactions mitigées sur les réseaux sociaux, certains défendant les droits des enseignants à participer au recensement, soulignant que cette activité est ouverte à tous les fonctionnaires et non limitée aux enseignants.