Selon Alyaoum24, les protestataires ont exprimé leur mécontentement face à ce qu’ils considèrent comme une violation des normes académiques et des libertés, réclamant un environnement universitaire qui respecte la liberté d’expression. Un sentiment d’injustice qui a été amplifié par les chants et les keffiehs portés en solidarité, symbolisant le soutien à la fois à l’étudiante et à la cause palestinienne.
Dans une déclaration, la fédération a non seulement dénoncé l’action du doyen mais a également appelé à une enquête approfondie, insistant sur la nécessité de mesures disciplinaires. L’organisation a réaffirmé son engagement envers les droits des étudiants à exprimer leurs opinions et à être reconnus pour leurs réalisations académiques, quelles que soient leurs positions politiques ou culturelles.