Baitas a souligné que le gouvernement aborde ce dossier avec « la meilleure intention » et a montré une volonté de dialogue en répondant à de nombreuses préoccupations soulevées par les étudiants. Il a précisé : « Nous avons apporté des réponses à toutes les questions et dissipé les craintes concernant la formation, les bourses, la structure des programmes et les stages ». Il a également mis en avant l’engagement du gouvernement à trouver des solutions concrètes.
Pour renforcer ce dialogue, une commission parlementaire à la Chambre des représentants a été convoquée, avec la participation des ministres concernés pour discuter des points en suspens. Baitas a rappelé que « les groupes parlementaires ont joué un rôle de médiation significatif ». Selon lui, le gouvernement a rempli ses devoirs de manière adéquate : « Je ne pense pas que le gouvernement ait manqué à ses responsabilités ».
Le contexte actuel est marqué par une montée des tensions entre les étudiants en médecine et en pharmacie d’un côté et le gouvernement de l’autre. Les étudiants ont exprimé leur insatisfaction face à plusieurs aspects de leur formation et conditions d’études, organisant des manifestations pour demander des améliorations spécifiques, notamment en matière de qualité de la formation et de révision des bourses et stages.