Lors de la séance mensuelle consacrée aux questions de politique générale, Hammouni a réclamé des excuses publiques, jugeant ces propos contraires aux principes démocratiques et constitutionnels.
Il a également critiqué le manque d’engagement de certains ministres qui, sans justifications valables, évitent de se présenter aux sessions de responsabilité parlementaire, remettant en question l’efficacité de l’institution législative. Hammouni a affirmé que le rôle du Parlement était d’être la voix des citoyens, et que réduire son influence à une simple formalité était inacceptable.
Hammouni a accusé le gouvernement d’entraver délibérément les activités parlementaires, adaptant les discussions uniquement à ses propres termes et temporisations. Il a promis de ne pas rester silencieux face à ces agissements, soulignant l’importance de défendre les droits institutionnels et l’intégrité du Parlement.