Selon Al3omk, le document révèle des problèmes significatifs dans la gestion des résidences, notamment l’attribution et la distribution des chambres par certains groupes étudiants, entraînant une surpopulation. Des chambres conçues pour moins d’occupants accueillent jusqu’à six ou sept étudiants.
Les services de restauration sont également critiqués pour leur manque de qualité et de quantité, avec des appels à une surveillance plus stricte pour garantir le respect des normes prévues. Le rapport met en avant un besoin urgent d’améliorations dans les infrastructures de santé au sein des résidences, pointant un déficit en personnel médical et en ressources, ainsi qu’un manque de soutien psychologique pour les étudiants.
Cette analyse s’inscrit dans les efforts du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation pour améliorer les services sociaux destinés aux étudiants, en particulier ceux issus de milieux défavorisés, et pour répondre à la demande croissante d’accès aux résidences universitaires.