El Moudden a souligné, selon AlYaoum24, que la capacité financière est une condition essentielle pour accomplir cette sunna : « Il est prioritaire que l’obligation financière de la sunna soit respectée, car Allah n’impose à une âme que ce qu’elle peut supporter ».
Il a ajouté que « l’achat d’un sacrifice pour l’Aïd par le biais de prêts est interdit, car cela entraînerait une pression financière sur la personne et sa famille ».
El Moudden a également rappelé « l’importance spirituelle, sociale et économique de ce rituel », soulignant la nécessité de conserver ses aspects traditionnels dans le contexte marocain actuel. Il a conclu en indiquant que « dans l’adaptation aux évolutions de la société, il est crucial de préserver ces rituels dans leur forme marocaine authentique ».