Selon Alyaoum 24, cette interrogation fait suite à un événement tragique à Safi, où une élève de 20 ans s’est suicidée après avoir été prise en flagrant délit de triche avec un téléphone.
La députée a exprimé ses préoccupations concernant la pression psychologique intense subie par les jeunes durant ces examens et l’insuffisance des mesures d’accompagnement. Elle a souligné l’importance de ne pas se concentrer uniquement sur l’aspect technique des épreuves, mais aussi sur les effets des procédures disciplinaires sur la santé mentale des candidats.
Selon les informations disponibles, la jeune fille, qui vivait dans le douar El Saadla de la province de Safi, a quitté la salle d’examen et s’est dirigée vers la corniche de la ville où elle s’est jetée d’une hauteur considérable, succombant à ses blessures malgré les tentatives de sauvetage par les services de protection civile. Avant son acte, elle avait laissé un message vocal d’adieu, révélant son incapacité à faire face à la situation.
Ce drame a également mis en lumière les difficultés psychologiques et sociales auxquelles sont confrontés certains jeunes, exacerbées par la pression des examens. La parlementaire a demandé des clarifications sur les initiatives en place pour prévenir de telles tragédies à l’avenir et pour assurer un environnement d’examen avec plus de soutien et moins stressant.
