Ouahbi a porté l’attention des conseillers sur les différentes complications entourant l’obtention des extraits des casiers judiciaires par les citoyens marocains, qu’ils résident au pays ou à l’étranger.
Il a également abordé certaines procédures qui, selon lui, alourdissent les démarches administratives pour les citoyens et les obligent à parcourir de longues distances jusqu’aux tribunaux pour régler des situations juridiques non conformes à la loi.
Selon Ouahbi, un document pose particulièrement problème : le certificat de vie, précisant non sans ironie qu’il est “incompréhensible” qu’une administration exige un certificat de vie à un citoyen.