Ce matin, à la Cour d’appel de Casablanca, tous les dossiers ont été ajournés en raison de cette grève, y compris celui de Momo, rapporte Hespress.
Les avocats de Momo, ainsi que ceux des deux autres accusés impliqués dans la mise en scène de l’appel téléphonique, étaient présents. La défense de Hit Radio, souhaitant se constituer partie civile, était également sur place.
La première audience du procès en appel de Momo, poursuivi en état de liberté provisoire, et des deux autres accusés, actuellement en détention provisoire, est prévue pour la semaine prochaine.
Ce procès en appel suit la condamnation initiale de Momo à quatre mois de prison ferme, d’Amin S. à cinq mois de prison ferme, et de Mustafa à trois mois de prison ferme. Les demandes civiles de Hit Radio avaient été rejetées.
Le procureur du tribunal de première instance avait ordonné la poursuite de Mohamed Bousfiha en liberté provisoire contre une caution de 100.000 dirhams, pour participation à une offense et diffusion de fausses informations.