Selon Al3omk, la cause principale de cette destitution est l’absence non justifiée de Mohamed Boudrika, qui s’est prolongée pendant plus de trois mois, ce qui a gravement perturbé le fonctionnement de l’arrondissement.
Le ministère de l’Intérieur avait précédemment autorisé le préfet à prendre les mesures nécessaires après que Boudrika avait échoué à justifier convenablement son absence, malgré une période de sept jours qui lui avait été accordée pour fournir des explications. Les certificats et rapports médicaux présentés par Boudrika n’ont pas suffi à convaincre le ministère de la légitimité de son absence.
Le juge des référés, qui a constaté personnellement l’absence prolongée du président, a noté que cette situation avait causé une paralysie administrative, nuisant ainsi aux services essentiels requis pour le bon déroulement des activités de l’arrondissement et portant préjudice aux citoyens.
En conséquence, la décision de destitution a été prise pour remédier à la stagnation administrative et restaurer l’efficacité au sein de l’arrondissement.