Alune Wade (Sénégal), Aïta Mon Amour (Maroc, Tunisie), BCUC (Afrique du Sud), Simon Shaheen Quartet (Palestine) et Ablaye Cissoko & Cordaba (Sénégal) se succéderont cette année sur les scènes du festival.
Compositeur et bassiste de talent, Alune Wade propose une musique souvent qualifiée de jazz nomade, et ne cesse d’explorer les secrets de la transe Gnaoua.
Le duo Aïta Mon Amour interprète quant à lui des chants populaires et féministes et remettent la tradition au goût du jour.
Le groupe BCUC, originaire de Soweto, mélange musique traditionnelle africaine, soul et punk rock pour créer une transe unique et festive.
Simon Shaheen s’est fait connaître dans le monde entier comme un violoniste et joueur de oud virtuose, mettant en valeur la beauté de la culture arabe.
Ablaye Cissoko est, lui, considéré comme l’un des plus grands joueurs de kora, cet instrument d’Afrique de l’Ouest : il incarne la rencontre entre les traditions mandingues et la création contemporaine.
Ces nouveaux noms s’ajoutent à ceux déjà annoncés par les organisateurs du festival, à savoir Buika (Espagne), Saint Levant (Palestine), The Brecker Brothers Band Reunion (États-Unis), Labess (France, Algérie) et Bokanté (États-Unis, Guadeloupe).
Cette année, le festival présentera 53 concerts et plus de 400 artistes au total, dont de nombreux maâlems gnaouas.