Ce projet impose des critères rigoureux pour prévenir toute candidature entachée de soupçons de malversations.
Le comité a proposé d’interdire formellement la nomination de toute personne faisant l’objet de poursuites pour corruption ou pour des irrégularités dans la gestion des affaires publiques. Il va même plus loin en suggérant d’exclure ceux impliqués dans des délits de harcèlement sexuel ou d’autres crimes contre les femmes.
La réunion du bureau politique, prévue pour la semaine prochaine, examinera ce projet avant sa présentation au Conseil national le 11 mai pour approbation.
Un leader éminent du parti, interrogé par Hespress, exprime des réserves sur l’adoption de ces mesures strictes, soulignant que sans garanties adéquates, les candidats refusés pourraient se voir offrir des positions par d’autres partis.