Pour le ministre, cet examen doit être perçu comme un moyen de réformer le système éducatif lié à la conduite dans son ensemble, conformément à la stratégie nationale de 2017. Ce projet, initié en 2020, a nécessité deux années de préparation au sein de l’Agence nationale de la sécurité routière (NARSA) et une année de négociations avec les institutions de formation.
Les premiers résultats ont été décevants, mais suite à l’identification et à la correction des problèmes, les candidats ayant passé l’examen lundi dernier auront l’opportunité de le repasser sans que le premier résultat soit pris en compte.
L’utilisation d’une nouvelle banque de questions a permis d’améliorer les performances, avec un taux de réussite de 40 % enregistré ces derniers jours, et une projection de 55 % pour aujourd’hui.
En outre, l’Agence a mis en place une plateforme de formation disponible pour les établissements d’enseignement et les apprenants, soulignant ainsi l’importance de la formation continue dans le processus de conduite.
Cette réforme de l’examen théorique du permis de conduire, initiée par le ministère des Transports et de la Logistique, vise à améliorer la sécurité routière en renforçant les connaissances des conducteurs.
Le ministre a insisté sur le fait que cet examen ne devait pas être simplement considéré comme un test, mais plutôt comme un moyen d’améliorer l’ensemble du système éducatif lié à la conduite.