Les propriétaires d’auto-écoles critiquent la nature des questions posées et affirment que cette transition nuit à leur profession, selon le site d’information Hespress. Dahan Boubred, président de l’Union nationale des associations et propriétaires d’auto-écoles, souligne que l’Agence nationale de la sécurité routière avait convenu d’augmenter le nombre de questions et de les introduire progressivement, mais le taux d’échec élevé a pris de court.
Les auto-écoles se sentent négligées depuis l’introduction du nouveau système et certains propriétaires ont eu des litiges avec des candidats mécontents.
L’Agence nationale de la sécurité routière (NARSA) reconnaît des différences dans les questions, mais affirme que les principaux axes sont maintenus. Des formations destinées aux auto-écoles sont nécessaires pour accompagner cette transition.