Cette décision de la Mauritanie est perçue par des analystes comme un moyen de se distancier d’un plan perçu comme visant à isoler le Maroc, surtout compte tenu de l’exclusion de ce dernier par l’Algérie et de la promotion de cette exclusion par les médias proches du gouvernement algérien.
Les experts considèrent ce refus comme un signe de l’échec de l’Algérie à former une alliance maghrébine sans le Maroc, ce qui a poussé le président algérien à solliciter un entretien avec son homologue mauritanien pour discuter de cette initiative et d’autres sujets pertinents pour l’Afrique.
Ce geste souligne les tensions régionales et les complexités dans les relations entre les pays du Maghreb, mettant en évidence les défis de la coopération régionale face aux rivalités politiques.