Selon Al3omk, ces réformes, qui seront discutées lors d’une réunion clé de la commission de révision du règlement intérieur prévue jeudi prochain, visent à concrétiser les directives royales pour assainir la vie politique.
Un accord se profile entre les dirigeants des groupes parlementaires, tant de la majorité que de l’opposition, sur l’importance d’appliquer des mesures spécifiques aux députés sous enquête judiciaire pour des affaires de corruption financière. Ces mesures préventives, limitant leur rôle dans les discussions publiques et leur travail en commission, font partie d’un effort plus large pour renforcer l’intégrité au sein de la législature.
Les propositions à l’étude devraient s’aligner sur celles avancées par le groupe parlementaire du PAM (Parti authenticité et modernité), qui préconisent des restrictions significatives pour les députés concernés, notamment en ce qui concerne leur capacité à poser des questions, à assumer des responsabilités de représentation et à participer à des missions internationales.