Il s’agit de l’Ordre national des huissiers de justice, du Mouvement de l’enfance populaire, du Centre Makassid d’études et des recherches et du Centre Ichâa pour les études familiales.
Ces réunions s’inscrivent dans le cadre des consultations et auditions menées par l’Instance avec les différents acteurs concernés, conformément à la lettre royale adressée au chef du gouvernement pour la révision du Code de la famille.
Dans une déclaration à la presse, le président de l’Ordre national des huissiers de justice, Farid Marjane, a indiqué que les propositions présentées par l’Ordre sont liées notamment aux procédures de signalement et de mise en œuvre, et aux mesures ayant trait à certaines questions financières.
Dans une déclaration similaire, le membre du bureau exécutif du Mouvement de l’enfance populaire, Youssef Bouch, a relevé que les visions présentées par le Mouvement pour la réforme du Code visent la préservation de la famille en tant qu’unité soudée et l’octroi à tout un chacun ses droits au sein de cette institution sociale.
Pour sa part, le directeur du Centre Makassid d’études et des recherches, Houcine Mouss, a souligné que le mémorandum soumis par le Centre comprend un ensemble d’idées susceptibles de maintenir la stabilité familiale en premier lieu, outre certaines propositions concernant un nombre de dispositions juridiques familiales, faisant observer que ce texte a été élaboré par plusieurs experts et chercheurs pour une famille marocaine stable, équilibrée et qui contribue à la construction d’une société saine et sûre.
De son côté, la directrice du Centre Ichâa pour les études familiales, Hanane Benchekroun, a fait savoir que les visions et propositions présentées par le Centre concernent principalement la famille en tant que structure sociétale, et ambitionnent de développer et d’améliorer la qualité de la vie familiale.
(avec MAP)