S’exprimant à l’ouverture du Forum parlementaire mondial, organisé dans le cadre des Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI), Mayara a plaidé en faveur d’une réflexion au sujet d’une vision pratique pour l’élaboration “d’un agenda parlementaire” visant à réaliser un développement équitable et inclusif.
Cet agenda permettrait la mise en place d’un guide des meilleures pratiques économiques parlementaires, a-t-il poursuivi, tout en invitant le Réseau parlementaire de la BM et du FMI à accompagner les parlements nationaux dans le renforcement des processus d’élaboration des budgets publics sur le plan technique, afin d’améliorer l’efficacité des investissements publics.
En outre, Mayara s’est félicité de la tenue des Assemblées annuelles BM/FMI au Maroc, après le séisme d’Al Haouz, notant que l’organisation à Marrakech de cette grand-messe est “un témoignage fort de la part de ces deux prestigieuses institutions internationales de la capacité du Royaume du Maroc, sous la sage conduite de Sa Majesté le roi Mohammed VI, à faire face avec célérité aux grands défis et à en assurer une bonne gestion”.
Il a, par ailleurs, souligné la nécessité d’accorder une attention toute particulière à la promotion de la contribution du continent africain à l’économie mondiale, relevant que cette approche constitue l’un des fondamentaux de la diplomatie du Royaume, sous le leadership du roi, et qui vise à bâtir un cadre de partenariats prometteurs avec les pays du continent sur la base du “développement commun”.
Pour sa part, le président du Réseau parlementaire du Groupe de la BM et du FMI, Liam Byrne, a mis l’accent sur le rôle principal des décideurs politiques dans la mise en œuvre de “programmes de réforme majeurs fondés sur des bases politiques solides”.
Dans une allocution prononcée par visioconférence, Byrne a indiqué que la conjoncture économique mondiale est “très sensible”, en raison des répercussions de la crise sanitaire du Covid-19 et des complexités géopolitiques existantes, en plus des défis liés à la pauvreté et au changement climatique.
Cette réunion offre l’occasion de cristalliser “une nouvelle vision parlementaire pour un nouveau partenariat mondial”, a-t-il dit, ajoutant que ces challenges s’accompagnent du développement de mécanismes opérationnels innovants par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international en vue de préserver la stabilité économique.
Les travaux des Assemblées annuelles BM/FMI ont débuté lundi à Marrakech, avec la participation de l’élite économique et financière mondiale afin de débattre des grands enjeux liés notamment aux politiques de financement, à la croissance économique et au changement climatique.
Cet événement planétaire, qui revient en terre africaine 50 ans après, offre l’occasion aux décideurs économiques et financiers de prendre connaissance de près des avancées réalisées et des progrès accomplis par le Maroc sous le leadership du roi Mohammed VI dans divers domaines.
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- Le président de la Chambre des Conseillers, Enaam Mayara, a appelé, lundi à Marrakech, au renforcement de la contribution des parlements aux réformes économiques, à travers la mise en place d'un agenda parlementaire mondial visant à relever les défis économiques actuels. S’exprimant à l'ouverture du Forum parlementaire mondial, organisé dans le cadre des Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI), M. Mayara a plaidé en faveur d’une réflexion au sujet d'une vision pratique pour l’élaboration "d’un agenda parlementaire" visant à réaliser un développement équitable et inclusif. Cet agenda permettrait la mise en place d’un guide des meilleures pratiques économiques parlementaires, a-t-il poursuivi, tout en invitant le Réseau parlementaire de la BM et du FMI à accompagner les parlements nationaux dans le renforcement des processus d'élaboration des budgets publics sur le plan technique, afin d'améliorer l'efficacité des investissements publics. En outre, M. Mayara s’est félicité de la tenue des Assemblées annuelles BM/FMI au Maroc, après le séisme d’Al Haouz, notant que l’organisation à Marrakech de cette grand-messe est "un témoignage fort de la part de ces deux prestigieuses institutions internationales de la capacité du Royaume du Maroc, sous la sage conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, à faire face avec célérité aux grands défis et à en assurer une bonne gestion". Il a, par ailleurs, souligné la nécessité d'accorder une attention toute particulière à la promotion de la contribution du continent africain à l'économie mondiale, relevant que cette approche constitue l'un des fondamentaux de la diplomatie du Royaume, sous le leadership de Sa Majesté le Roi, et qui vise à bâtir un cadre de partenariats prometteurs avec les pays du continent sur la base du "développement commun". Pour sa part, le président du Réseau Parlementaire du Groupe de la BM et du FMI, Liam Byrne, a mis l’accent sur le rôle principal des décideurs politiques dans la mise en œuvre de "programmes de réforme majeurs fondés sur des bases politiques solides". Dans une allocution prononcée par visioconférence, M. Byrne a indiqué que la conjoncture économique mondiale actuelle est "très sensible", en raison des répercussions de la crise sanitaire du Covid-19 et des complexités géopolitiques existantes, en plus des défis liés à la pauvreté et au changement climatique. Cette réunion offre l’occasion de cristalliser "une nouvelle vision parlementaire pour un nouveau partenariat mondial", a-t-il dit, ajoutant que ces challenges s'accompagnent du développement de mécanismes opérationnels innovants par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international en vue de préserver la stabilité économique. Les travaux des Assemblées annuelles BM/FMI ont débuté, lundi à Marrakech, avec la participation de l'élite économique et financière mondiale afin de débattre des grands enjeux liés notamment aux politiques de financement, à la croissance économique et au changement climatique. Cet événement planétaire, qui revient en terre africaine 50 ans après, offre l’occasion aux décideurs économiques et financiers de prendre connaissance de près des avancées réalisées et des progrès accomplis par le Maroc sous le leadership éclairé de SM le Roi Mohammed VI dans divers domaines
(avec MAP)