Toutes ces raisons suscitent l’intérêt d’Israël, qui aspire à conclure un accord de libre-échange avec le royaume pour annuler les droits de douane sur l’importation de voitures électriques et de batteries, actuellement estimés à 7 %, rapporte la même source.
En juin, Itzik Weitz, PDG de Carso Motors, Avi Kenneth, vice-président du commerce, et Albert Malle, cadre chez Atlas Capital, ont rencontré des hauts responsables de Renault Maroc ainsi que le ministre marocain de l’Industrie, Ryad Mezzour, et la directrice du secteur automobile au ministère, Ayda Fathi. Les pourparlers ont porté sur l’encouragement des exportations de voitures du Maroc vers Israël.
Le journal israélien souligne que les exportations de voitures fabriquées localement vers Israël restent pour l’instant limitées.