L’événement devrait accueillir 14.000 participants de haut niveau, dont des ministres de l’Économie et des Finances et des gouverneurs de banques centrales des 189 pays membres, indique un communiqué de la chefferie du gouvernement rendu public le 24 juillet.
Selon le communiqué, Aziz Akhannouch, accompagné des membres du comité de pilotage, a effectué une visite dans les espaces prévus pour abriter ces manifestations, afin de prendre connaissance sur place de l’état d’avancement des préparatifs et de s’assurer de la capacité des infrastructures mises en place pour accueillir les participants dans les meilleures conditions.
Le Maroc, une destination de choix
Le chef du gouvernement a souligné que le choix du Maroc pour accueillir une rencontre mondiale du niveau des assemblées générales du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, qui se tiennent tous les trois ans dans un continent différent, reflète l’intérêt que les institutions financières internationales portent au pays. Cet événement offre au Maroc l’opportunité de faire entendre la voix du continent africain auprès de la communauté internationale, a-t-il estimé.
Il y a près d’un mois, la directrice générale du FMI affirmait que le Maroc était “l’endroit idéal” pour la tenue de cet événement d’envergure.
Thrilled to be back in Morocco 🇲🇦- a country that bridges Africa, the Middle East and Europe.
The perfect place for our Annual Meetings. #Marrakech2023 pic.twitter.com/xzFurB5mqr
— Kristalina Georgieva (@KGeorgieva) June 17, 2023
Dans cette petite capsule, Kristalina Georgieva déclarait : “Je ne peux penser à un meilleur endroit. Le Maroc est un pays qui relie l’Afrique au Moyen-Orient et l’Europe, un carrefour. Un endroit où les idées fleurissent. Un pays doté d’une culture riche, de grandes traditions, d’une économie forte et dynamique, mais avant tout un pays béni de gens merveilleux.”
Les réunions annuelles des deux institutions financières seront articulées autour de six thématiques principales, à savoir l’inclusion financière et digital, le développement durable, les réformes des institutions financières internationales, l’entrepreneuriat et l’innovation, mais aussi les filets sociaux, la tolérance et le vivre-ensemble.
