Akhannouch a souligné, dans un discours prononcé par son porte-parole, Mustapha Baïtas, lors de la séance d’ouverture du Forum parlementaire des chambres professionnelles de la Chambre des Conseillers, ce lundi, que l’investissement public était un levier pour l’investissement privé, dans l’espoir de créer une solidarité à l’horizon 2026.
Baïtas a souligné que l’objectif du gouvernement était de consolider la position du royaume en tant que région attrayante pour l’investissement, ajoutant : “Nous avons pris un ensemble de mesures, dont une enveloppe budgétaire de 45 milliards de dirhams allouée au Fonds Mohammed VI pour l’investissement afin de financer ses activités.”
Le chef du gouvernement a indiqué que la question de l’investissement était une politique d’État et dépassait le temps gouvernemental, soulignant que son gouvernement a immédiatement élaboré la Charte de l’investissement neuf mois après sa prise de fonction, selon une approche participative, en tenant compte de l’intérêt suprême de la nation et en dépassant la logique de la majorité et de l’opposition.
Akhannouch a souligné que la Charte misait sur la consolidation de l’aspect régional, de la gouvernance, de la gestion de l’investissement et du renforcement de la décentralisation administrative et de l’implication des régions dans leurs rôles, car elles seront chargées de l’approbation des accords d’investissement au niveau sectoriel.