Les clubs marocains ont réalisé des ventes s’élevant à 9,4 millions de dollars, arrivant en 2ème position derrière l’Egypte en termes de recettes et devant l’Arabie saoudite qui a récolté 7,3 millions de dollars, a indiqué la même source, notant que les clubs marocains n’ont dépensé que 800.000 dollars en recrutement de joueurs étrangers.
Selon la même source, les clubs d’Egypte, du Maroc et d’Arabie saoudite ont réalisé les meilleures recettes au niveau arabe en termes de ventes de contrats de joueurs, avec des ventes s’élevant à 28 millions de dollars, soit 78 % du total perçu par les clubs arabes grâce à la vente de leurs joueurs à l’étranger en 2022.
Les clubs égyptiens ont réalisé des recettes s’élevant à 11,2 millions dollars, soit près de 32 % des recettes de ventes de joueurs de l’ensemble des clubs arabes, a ajouté la même source, notant qu’ils ont recruté des joueurs pour un total de 4,9 millions de dollars, réalisant un bénéfice de 6,3 millions de dollars, ce qui leur a permis d’arriver deuxièmes en termes de bénéfices dans le marché des transferts étrangers arabes pour l’année 2022.
Le volume des dépenses des clubs arabes pour recruter des joueurs auprès de clubs étrangers a atteint l’année dernière environ 98,3 millions de dollars, contre des ventes de 36 millions de dollars, a poursuivi la même source.
Les clubs d’Arabie saoudite, des Emirats et du Qatar ont réalisé les plus grandes dépenses pour l’achat de joueurs, avec 90,6 millions de dollars, soit 92 % du total dépensé par l’ensemble des clubs arabes en termes de transferts en 2022.
Dans ce sens, les clubs saoudiens ont dépensé environ 50,4 millions de dollars, soit 51,3 % du total dépensé par les clubs arabes pour l’achat de contrats de nouveaux joueurs. Les clubs émiratis sont arrivés en deuxième position en dépensant environ 22,4 millions de dollars, devant les clubs qataris avec 17,8 millions de dollars.
(avec MAP)