La succession de deux années de sécheresse conjuguée à un environnement externe globalement défavorable continuent de peser sur l’activité économique. Avec une production céréalière estimée par le département de l’Agriculture à 55,1 millions de quintaux, la croissance de la valeur ajoutée agricole devrait se limiter à 1,6% en 2023 après une contraction de 12,9% un an auparavant », indique BAM dans un communiqué publié à l’issue de la deuxième réunion trimestrielle de son Conseil au titre de l’année 2023.
En 2024, la valeur ajoutée agricole devrait, sous l’hypothèse d’une récolte céréalière de 70 millions de quintaux, croître de 5,5%, prévoit BAM.
Pour les secteurs non agricoles, la progression de leur valeur ajoutée ralentirait de 3% en 2022 à 2,5% en 2023 avant de s’accélérer à 3,2% en 2024.
(avec MAP)