Les résultats initiaux positifs et superficiels à ce jour de MOU-3 devront être évalués dans le contexte de la séquence de test de puits sans plateforme et des intervalles à privilégier pour un potentiel d’écoulement de gaz en cas de réussite. Cet exercice ne sera terminé qu’une fois que le puits MOU-3 aura été diagraphié et que les diagraphies auront été analysées pour déterminer les zones présentant les meilleures caractéristiques de débit de gaz. La priorité sera de se concentrer sur le potentiel de débits de gaz élevés s’ils sont confirmés par les résultats des diagraphies au fil », annonce la compagnie.
Paul Griffiths, président exécutif de Predator Oil & Gas Holdings Plc, a commenté : « La présence inattendue de gaz en surpression à faible profondeur est toujours un risque potentiel dans un bassin sédimentaire nouvellement exploré. Je tiens à remercier notre équipe expérimentée (…) pour avoir surmonté avec succès – grâce à leur vaste expérience du forage – ce qui aurait pu devenir un défi opérationnel très sérieux ».
Et d’ajouter que « la présence de gaz en surpression peu profond a permis d’identifier deux nouveaux réservoirs de gaz potentiels qui n’étaient pas connus avant le forage. De plus, la présence de gaz en surpression a validé l’intégrité des pièges peu profonds et a identifié une voie claire pour la migration du gaz profond vers les six prochaines cibles à évaluer par MOU-3 ».
« Nous sommes très encouragés par ce que nous avons découvert jusqu’à présent, ce qui, à ce stade précoce, est, selon nous, significatif dans le cadre de nos plans de développement du GNC, mais nous restons prudents alors que nous avançons dans une section qui pourrait contenir ou non plus de gaz en surpression« , conclut Paul Griffiths.