La cellule, composée de trois individus de 31 à 40 ans, avait l’intention de mener des projets terroristes mettant en péril la sécurité et la stabilité du royaume, selon un communiqué du BCIJ.
D’après les premières investigations, les suspects avaient prêté allégeance à un chef présumé de l’organisation en question et s’apprêtaient à exécuter des projets destructeurs visant des infrastructures vitales et sécuritaires. Ils étaient activement impliqués dans la préparation matérielle de leurs plans, en identifiant des cibles potentielles et en collectant des informations sur la fabrication d’explosifs.
L’enquête a également révélé que les individus en question avaient tenté d’établir des liens avec d’autres terroristes opérant en dehors du pays afin de coordonner leurs actions et de rejoindre une branche spécifique de l’organisation. Cette démarche était prévue immédiatement après l’exécution de leurs plans terroristes au royaume, principalement dans les régions du Sahel et du Sahara.
Les suspects ont été placés en garde à vue afin de permettre la poursuite de l’enquête judiciaire, supervisée par le parquet spécialisé dans les affaires de terrorisme. L’objectif est d’identifier tous les projets terroristes, ainsi que les éventuels liens et ramifications de cette cellule.
Cette affaire met en évidence une fois de plus la prolifération des menaces terroristes qui guettent le pays, face à la détermination des individus influencés par des idéologies extrémistes à répondre aux appels subversifs de l’organisation terroriste.
(avec MAP)