En réponse à une question orale sur “l’accompagnement et le financement des porteurs de projets dans le cadre du programme Intelaka” à la Chambre des représentants, Mme Fettah a fait remarquer que cette dynamique que connaît le programme, lancé en février 2020 sous orientations royales, “dénote de la volonté chez les jeunes de créer leur propre entreprise”.
La ministre a souligné que la raison pour laquelle un tiers des jeunes n’ont pas accès au programme était probablement due au manque de soutien supplémentaire pour accompagner leurs projets ou à leurs dossiers de candidature qui doivent être réexaminés.
Dans ce contexte, elle a indiqué que le gouvernement avait conclu une convention de partenariat entre Tamwilcom et les Centres régionaux d’investissement, afin d’assister les entrepreneurs qui n’ont pas réussi à faire valider leurs dossiers et de veiller à l’accompagnement de ceux qui ont reçu le soutien pour que leurs projets aboutissent.
(avec MAP)