Selon la DGSN, la cargaison de drogue était « dissimulée à l’intérieur d’un conteneur de marchandises, à bord d’un navire de transport maritime battant pavillon d’un pays européen en provenance du Liban et à destination d’un pays de l’Afrique de l’Ouest ».
Ni le pays européen ni le pays africain n’ont été identifiés.
« Les perquisitions (…) ont permis la découverte et la saisie de substances psychotropes dissimulées à l’intérieur de barils contenant des produits de consommation, soit au total 2.018.500 comprimés de Captagon », a précisé un communiqué de la DGSN.
Une enquête est en cours à Tanger.
Le captagon est une amphétamine dérivée d’un médicament censé traiter la narcolepsie ou les troubles du déficit de l’attention. Ce stimulant, autrefois associé aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI), s’est répandu au Moyen-Orient, où l’Arabie saoudite constitue son plus grand marché.
La Syrie et le Liban en sont considérés comme les principaux producteurs.
(Avec AFP)