Dans les coulisses de l'Orchestre philharmonique du Maroc

Crédit: Yassine Toumi / TelQuel

Dans les coulisses de l'Orchestre philharmonique du Maroc

Le 8 octobre, l’Orchestre philharmonique du Maroc jouait son premier concert d’ouverture à l’église Notre-Dame-de-Lourdes de Casablanca. TelQuel y était pour vous immiscer dans les coulisses des interprètes de Double concerto pour violon et violoncelle de Johannes Brahms et la Symphonie Rhénane de Robert Schumann.

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    Pas le moindre doute sur le visage concentré du jeune violoniste, quelques minutes avant de franchir les planches de l’Eglise Notre-Dame de Casablanca. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Sarah Nemtanu, au violon et Jérôme Pernoo au violoncelle. Deux solistes, formant un duo bien huilé, orchestré par le Franco-Marocain Mehdi Lougraida. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Si le violoncelliste français arbore un sourire pendant les dernières répétitions, le trac ne l’a jamais abandonné. « Même si on a répété, même si on a travaillé, il y a toujours une appréhension de savoir comment les choses vont être perçues", explique-t-il à TelQuel. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    A quelques minutes du concert, les musiciens sont partagés entre pression et désir de livrer une performance mémorable. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Deux violoncellistes, un violoniste et trois générations de férus des cordes frottées. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Flûtiste de formation, le chef d’orchestre Mehdi Lougraida a préféré donner le tempo de sa main droite et transmettre les émotions de sa gauche. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Il est le premier chef d’orchestre marocain à diriger l’Orchestre philharmonique du Maroc. Soulagé, après un bout à bout « rassurant" à quelques minutes de son premier concert au « bled ». Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Président fondateur de l’Orchestre philharmonique du Maroc, Farid Bensaid est aussi le premier violon des quatre-vingts musiciens professionnels.

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    "C’est une émotion spéciale, une motivation intérieure qui peut transcender les choses", nous dit le violoncelliste. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Pour les musiciens, la gestion du trac et du stress est aussi importante que la maîtrise de leur prestation. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Après les répétitions, les musiciens s’empressent à arborer leurs complets-vestons noirs. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Un violoniste essaie d’accorder son instrument.

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    Les musiciennes étaient sur leur trente-et-un. Bienvenue dans les 80'S. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    Son violoncelle l’accompagne depuis quarante-sept ans. « Je l’ai acheté quand j’avais 11 ans. J’ai pris un coup de vieux, pas lui, » ironise l’instrumentiste. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.

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    La musique, c’est aussi un héritage d’une génération à l’autre. Crédit : Yassine Toumi/TelQuel.