Dans l’enfer de la plus longue étape du Marathon des sables

Cimbaly
Crédit: Cimbaly

Dans l’enfer de la plus longue étape du Marathon des sables

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    9h15 et 12h15: les concurrents partent en deux vagues, afin d’ajouter du piment et de fluidifier la course

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    17h32: annoncé bien plus tard, Rachid El Morabity surprend tout le monde lors de son passage éclair au cinquième point de contrôle

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    12h: à l’heure la plus chaude de la journée, le thermomètre dépasse les 45°C

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    Dans ces conditions, les descentes et le semblant d’ombre des dunes sont très appréciées

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    16h: les coureurs pressent le pas à l’approche du 5e ravitaillement - seule de l’eau leur est proposée, l’épreuve devant être disputée en complète autonomie alimentaire

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    20h42: le tenant du titre s’impose en 8h12’05’’. À peine la ligne franchie, il s’agenouille pour une célébration devenue rituelle

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    Le leader de la compétition - et, sauf défaillance, futur sextuple vainqueur - ne semble pas vraiment essoufflé…

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    23h30: alors que les champions se reposent déjà dans leurs tentes, des centaines d’anonymes s’apprêtent à passer la nuit sous le vent du désert, à la lueur de leurs lampes frontales

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    …contrairement à son frère Mohamed, deuxième du jour et du classement général, qui peine à ouvrir les yeux pour répondre aux questions des journalistes

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    12h30: ces deux courageux en terminent, obligés de se soutenir pour rester debout

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    Au campement, le personnel médical s’active pour réparer les petits bobos

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    Une Suissesse préfère honorer l’astre diurne d’une salutation de yogi

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    6h45: après des heures de marche nocturne, ces deux Britanniques s’arrêtent pour admirer le point du jour

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    Grâce aux quelque 400 balises lumineuses disposées tout au long du parcours, aucun participant ne s’est perdu dans l’obscurité

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    Principal fléau après la déshydratation et l’hyperthermie, les ampoules ont fait de très nombreuses victimes. Elles devront être soignées avant demain: une ultime manche chronométrée de 42,2 kilomètres attend les désormais 936 rescapés

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    10h30: au dernier checkpoint, le directeur de course Patrick Bauer semble apprécier le thé et la musique amazigh

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    Après plus de 86 kilomètres d’efforts, bivouac en vue. Une trentaine de camions de l’armée ont été mis à disposition pour garantir la logistique