Smyet bak ?
Abdellah.
Smyet mok ?
Samira.
Nimirou d’la carte ?
BJ… Mouhim, Hay Mohammadi.
Tu t’appelles Zineb Amine, pourtant tout le monde t’appelle Zineb Zaouli. C’est un choix personnel, ou bien ça s’est fait naturellement ?
Un peu des deux. C’est devenu une habitude due au lien avec le TAS (Tihad Athletic Sport, ndlr). Je pense que la ressemblance physique avec ma mère y est aussi pour beaucoup : il arrive que certains journalistes m’appellent Samira. Mais je préfère qu’on m’appelle Zineb Amine, parce que j’ai ma propre…