Le 5 novembre, jour des élections américaines, tout ne se joue pas pour le Maroc. Depuis dix ans, Rabat s’est ouvert d’autres horizons qui lui permettent de moins dépendre, tous les quatre ans, de la volonté des électeurs américains.
Garder un œil sur les États-Unis, oui, mais pas les deux. L’échéance électorale américaine est certes importante pour le Maroc, mais ne lui fait pas oublier les nombreux autres partenariats qu’il a tissés ces dix dernières années. Pour Ali Moutaïb, analyste en intelligence stratégique et directeur de l’École de guerre économique…
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