Smyet bak ?
Robert.
Smyet mok ?
Hinda.
Nimirou d’la carte ?
Je n’en ai pas, mais je vais souvent au Maroc.
Votre spectacle « Violet » aborde des thèmes très personnels, vous parlez d’amour, de santé mentale… avec beaucoup de bienveillance. L’humour méchant, c’est devenu ringard ?
Oui, je pense que j’ai un style d’humour bienveillant et que c’est ce qui fait la différence. Je ne suis pas dans un truc méchant et les gens aiment ça. La bienveillance, l’honnêteté aussi, ça fait…