Le passage à la prochaine étape de flexibilisation du régime de change au Maroc se fait attendre depuis mars 2020. Une décision qui requiert, selon les observateurs, une conjoncture économique favorable, mais également un timing politique propice.
Alors qu’il s’était longtemps opposé au passage à la prochaine étape de flexibilisation du taux de change du dirham en raison de l’incertitude entourant les perspectives économiques mondiales, Abdellatif Jouahri a remis cette réforme à l’ordre du jour à l’issue de la dernière réunion de l’année du conseil de Bank Al-Maghrib,…
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