TelQuel : Vous avez traduit certains romans de Kundera vers l’arabe. Comment avez-vous vécu cette expérience ?
Mohamed Thami El Ammari : C’était un pur hasard. J’ai commencé à traduire dans les années 1990, mais plutôt des textes scientifiques, relevant de la linguistique et la sémiotique (Umberto Eco, A.J. Greimas…). Je n’avais jamais songé à traduire de la littérature jusqu’au jour…