Fathallah Oualalou : “Pékin tient compte du statut du Maroc comme un pays relais entre l’Europe et l’Afrique”

Dans un environnement géopolitique marqué par l’incertitude, le Maroc réussit pour le moment à maintenir un équilibre entre les deux grands pôles qui se dessinent. Le royaume, tout en ayant de forts liens avec le camp occidental, États-Unis en tête, ne se prive pas de nouer des partenariats et de maintenir des canaux de communication avec l’autre pôle, notamment la Chine. Fathallah Oualalou, ancien ministre des Finances et essayiste qui vient de publier “D’une bipolarisation à une autre”, revient pour TelQuel sur les spécificités du partenariat entre Rabat et Pékin.

Par

Fathallah Oualalou, ancien ministre des Finances (1998–2007), et ancien maire de Rabat (2009–2015), est Senior Fellow au Policy Center for the New South. Crédit: Rachid Tniouni / TelQuel

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter