Le festival du Théâtre Africain a pour ambition de mettre en lumière la richesse et la diversité du théâtre africain contemporain. Cette première édition rassemblera des compagnies de 10 pays différents. Outre le Maroc, des troupes issues de la République Démocratique du Congo, de Guinée, du Burkina Faso, du Burundi, du Mali, du Cameroun, du Kenya, des Îles Comores et du Bénin prendront part à cette manifestation culturelle à rayonnement africain.
Théâtre du réel, des résistances, des résiliences, des utopies, théâtre des villes et des quartiers, théâtre des hommes et des femmes, de leurs combats et de leurs rêves : la programmation de cette première édition offre une vision inédite du théâtre contemporain africain, porté par des auteurs et des metteurs en scène émergents de renommée internationale.
Le Festival du Théâtre Africain sera également l’occasion de mettre à l’honneur la créativité des femmes et des hommes qui ont, de tout temps, su faire du théâtre en Afrique un endroit d’expression et de création, au croisement des richesses culturelles et des engagements de tout un continent.
Un programme riche et varié en représentations théâtrales, mais aussi en tables rondes, offre
au public un espace particulier d’échange et de débat. « Théâtre en Afrique, état des lieux et perspectives », « Comment repenser les festivals en Afrique » et « Comment créer une dynamique entre les écoles de théâtre du continent » sont autant de thématiques qui ne manqueront pas d’alimenter de fructueux échanges.
Cet événement grandiose prévoit également des visites à des établissements et à des institutions en rapport avec le 4ème art, ainsi que des rencontres dans le but est d’analyser et de débattre des réalités des différentes disciplines liées au théâtre, moyennant une démarche inclusive, participative et de proximité.
La première édition du Festival du Théâtre Africain se veut un tremplin pour le développement des industries créatives et culturelles de nos pays, notamment pour la promotion et le rayonnement de la culture africaine.