Pour vous, il existe déjà un modèle marocain de la finance participative. Pourquoi ?
Parce que le Maroc a des spécificités que d’autres pays n’ont pas. Sur le plan structurel et organisationnel, le modèle marocain a démarré après que la banque participative, les sukuks et l’assurance takaful ont été mis en place. Aujourd’hui, la Bourse de Casablanca s’apprête à publier un indice boursier compatible avec les préceptes de la Charia, c’est-à-dire que les titres sont portés par les sociétés respectant ce code religieux. Un marché secondaire pour la négociation des sukuks pourrait également voir le jour. C’est assez unique. Enfin, le moyen que les autorités marocaines ont…
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