Smyet bak ?
Mohamed.
Smyet mok ?
Yamna.
Nimirou d’la carte ?
Joker.
Vous venez de soutenir un mémoire sur les ultras. Un passage du journalisme sportif à la recherche scientifique ?
Je n’en suis qu’aux tout premiers pas (rires), mais j’ai l’intention de lier ces deux domaines inchallah. Dans tous les cas, le sport me profitera d’une certaine manière, en tant que base de recherche. Je peux dire que je gère les deux aspects quotidiennement.
Le patronat du foot marocain mérite-t-il lui aussi une recherche, vu sa manière de mélanger ballon rond et politique ?
Bien sûr ! Les hommes politiques s’intéressent au football pour profiter d’une visibilité publique.
Vous n’en avez pas marre qu’on respecte différents types de spécialistes, sauf pour le football où l’on estime que chacun a le droit à la parole, quitte à dire n’importe quoi ?
Pour moi, tout le monde a le…“Le football touche un large public où s’exprime aussi bien le politique que l’intellectuel, l’analphabète et, au-delà, toute la famille”