Selon un article de Reuters datant de mai 2018, Philip Morris International est en train de bâtir une base de données des utilisateurs IQOS qui s’inscrivent sur sa plateforme. Une application développée par le cigarettier serait même capable d’aller plus loin encore que la simple collecte de data. D’après Gregory Connolly, spécialiste américain en santé publique et professeur au département des sciences sociales et comportementales et de la santé à l’école de santé publique de Harvard, interrogé par TelQuel, le logiciel embarqué dans l’IQOS peut extraire une série d’informations, comme la fréquence de consommation et le nombre de bouffées inhalées par le fumeur, afin d’en faire usage “à des fins de marketing”.
Philip Morris s’en défend, en prétendant que le software intégré se contente de contrôler la température…