#MeTooUniv : à Settat, des peines jugées trop légères par le Ministère public

Le Ministère public a fait appel des jugements rendus en première instance à l'encontre de quatre professeurs impliqués dans le scandale "sexe contre bonnes notes" qui a secoué l'université de Settat fin 2021, estimant les peines trop peu sévères. Une décision qui fait écho aux revendications des militants qui déplorent une forme d'impunité.

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L'université Hassan Ier de Settat. Crédit: DR

Nouveau rebondissement dans l’affaire dite de « sexe contre bonnes notes » impliquant cinq professeurs de l’université Hassan Ier de Settat. A l’issue de trois mois de procès, deux des cinq accusés écopent de 18 et 12 mois de…

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