Rachid n’a pas l’habitude de participer aux manifestations. Ses dimanches, cet enseignant d’histoire-géo préfère les consacrer à la lecture des journaux du week-end. Ce 20 février ne déroge pas à la règle. Installé dans un café situé sur le boulevard Mohammed V à Rabat, ce quinquagénaire tend pourtant l’oreille aux slogans clamés par une…