La sécheresse est dans toutes les têtes. Les prières rogatoires prononcées au début du mois de février, demandées par le roi Mohammed VI, n’y ont jusque-là rien fait. De quoi pousser le sommet de l’État à l’action. À Bouznika, après avoir reçu le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, et le ministre de l’Agriculture, Mohamed Seddiqi, un communiqué du cabinet royal a annoncé, le 16 février, la mise en place de “mesures urgentes” pour pallier les effets du manque de pluies observé. Pour remédier au mal, 10 milliards de dirhams ont été alloués avec une participation de trois milliards du Fonds Hassan II. Une enveloppe…