Emouvant. C’est le premier adjectif qui vient à l’esprit une fois le dernier film d’Ismaël Ferroukhi visionné. Dix ans après Des hommes libres et Le Grand voyage (qui est aujourd’hui une référence de la cinématographie marocaine) le réalisateur maroco-français revient avec Mica. Un long-métrage qui décrit, presque sous la forme d’un conte, une réalité qui fait toujours mal, en évoquant les inégalités sociales, le travail des enfants et le besoin de…