Dans un communiqué relayé par sa tête d’affiche, Nabila Mounib, le bureau politique du Parti socialiste unifié (PSU) condamne “l’utilisation de l’argent” lors de ces élections et dénonce une pratique visant “à tuer ce qu’il reste de confiance entre la société et les institutions”.
Dans la communication, le parti dit être informé, par des sources “concordantes”, de cas de corruption et d’achat de voix en échange de sommes d’argent dans certaines régions du pays. Il y est fait mention d’achats de voix devant des bureaux de vote, notamment situés dans des “quartiers pauvres et marginalisés”.
Des pratiques que la formation à gauche décrit comme “humiliantes” et “inacceptables”, constituant un frein dans l’avancée vers davantage de “démocratisation dans la vie politique”.