Conditions sanitaires, budget, points d’intérêt touristique… Tout savoir avant de se rendre en Israël

Premiers vols directs, inauguration du bureau de liaison à Rabat, signature d’accords de coopération… Les relations entre le royaume et Israël se densifient petit à petit depuis leur normalisation, le 10 décembre 2020. Pour les Marocains qui voudraient se rendre sur place, que ce soit pour affaires ou pour tourisme, de nombreuses questions pratiques se posent. Diaspora vous aide à y voir plus clair.

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Diaspora

1. Quelles formalités administratives ?

À leur entrée en Israël, les ressortissants étrangers doivent obligatoirement présenter un permis délivré par l’Autorité de la Population et de l’Immigration. Outre les pièces généralement demandées (passeport valide encore au moins six mois, photos d’identité, formulaire administratif…), les nouvelles modalités spécifiques aux Marocains depuis la normalisation n’ont pas encore été communiquées, selon une agence de voyage basée à Tétouan.

La même source précise que, jusqu’à présent, les séjours à Jérusalem qu’elle proposait aux Marocains étaient conditionnés par une demande formulée auprès d’agents ministériels qui réalisaient une enquête préalable sur les visiteurs, puis la police aux frontières leur remettait un visa à leur arrivée sur place. Pour les voyageurs individuels, obtenir d’abord un “visa volant” était possible depuis un pays tiers, avant de recevoir un permis d’entrée et de séjour en bonne et due forme à l’aéroport d’arrivée.

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