Chaque semaine, la rédaction vous propose une interview avec celui ou celle qui défraie la chronique. Dans un format de 10 minutes aux sons d’un gyrophare de police et d’une machine à écrire de commissariat, un invité passe à la moulinette des questions de nos journalistes qui s’improvisent en officiers pour l’occasion.
Pour ce quatrième épisode, le conseiller en affaires publiques Hatim Benjelloun a accepté de se plier à l’exercice. “Personne universelle” et “éclaireur”, il dissèque, à force d’analogies, le paysage politique marocain pour nous en livrer les rouages, de façon tant méthodique que poétique.
Bretteur de la langue, c’est volontiers qu’il prend part à cette joute oratoire. Il faut dire que Hatim Benjelloun brandit les mots et les références littéraires comme peu de monde, ce qui transparaît dans son dernier essai, Le Maroc, c’est l’Autre, un titre d’inspiration sartrienne, mais aussi de son roman à venir, 2053, où peut-être faudra-t-il voir une adaptation de 1984, à l’heure où le Maroc propose sa vision d’avenir pour 2035.
Sommaire : le lobbying au Maroc, rétrospective de son expérience de conseiller politique, retour sur la gouvernance marocaine en temps de pandémie et son projet de roman.
Vous pouvez également vous procurez l’ouvrage de Hatim Benjelloun sur Qitab.ma :
«Le Maroc c'est l'autre»
79 DH
Ou