Interdit depuis la loi 19-12, ce trafic d’enfants perdure, notamment à cause de l’activité non réglementée des intermédiaires, les samsars. Un fléau que l’association de protection de l’enfance…
Fatima, 14 ans. Zineb, 11 ans. Khadija, 10 ans. Najat, 11 ans… la liste des “petites bonnes” ayant subi des sévices est longue. Certaines en sont mortes. L’arbre qui cache la forêt ? En 2014, l’INSAF estimait à environ 80.000 ces petites filles envoyées parfois dès l’âge de 7 ans pour être les esclaves de familles aisées ou de la classe moyenne.
Interdit depuis la loi 19-12, ce trafic d’enfants perdure, notamment à cause de l’activité non réglementée des intermédiaires, les samsars. Un fléau que l’association de protection de l’enfance…