Le jeune Medhi s’est fait connaître sous le nom de sa mère, Française d’origine algérienne. Le patronyme de son père marocain, El Mouttaqi, n’est venu s’ajouter sur son passeport qu’après l’adolescence.
L’homme aux 59 capes assure, pourtant, n’avoir jamais hésité entre représenter sportivement une terre qu’il n’a foulée qu’une seule fois – lors d’un match à Annaba, en 2011 – et une patrie où il avait l’habitude de passer les étés “à faire du cheval ou à tourner avec un âne”, dans le fief familial de Fkih Ben Salah.