Née à Oujda, la jeune femme a quitté le Maroc après son baccalauréat, pour poursuivre des études en France. Pour cette ingénieure de formation, le bénéfice est double : “Même loin, je contribue au développement de mon pays tout en favorisant les liens entre les membres de la diaspora”, assure-t-elle.
L’initiative convainc puisque l’association compte aujourd’hui près de 12.000 membres. Pourtant, investir au Maroc reste difficile pour les candidats à l’entrepreneuriat. Quels sont les freins rencontrés par les jeunes chefs d’entreprise et étudiants de grandes écoles, désireux d’investir au Maroc ? Les initiatives lancées par le gouvernement sont-elles les bonnes ? Réponses avec Zineb Hatim.