Sur fond d’interdiction des prières de Tarawih, la guerre des mots entre le PJD et Adl Wal Ihsane

À Tanger, des prières improvisées de Tarawih et autres manifestations nocturnes se sont soldées par des arrestations. La question ne fait pas l’unanimité, malgré la décision des autorités d’imposer le couvre-feu pendant le ramadan. À travers leurs sorties, Al Adl Wal Ihsane d’un côté et le PJD de l’autre tentent d’influer sur l’opinion publique.

Par

Reprise des prières à la mosquée Hassan II en octobre 2020. Crédit: Yassine Toumi / TelQuel

La contestation a commencé dans la soirée du mercredi 14 avril, premier jour du ramadan. À Tanger, plusieurs groupes d’individus ont violé l’état d’urgence sanitaire pour prier devant les portes closes de certaines mosquées. Le…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter